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Without doubt, your spa team is your most important asset. Every successful spa deploys a talented team that works together with the right spa-attittude, to deliver a genuine culture of service.
They are the frontline: selling your business and keeping your customers happy and returning. Your customers, as a direct result, will promote your spa’s reputation far and wide, through word of mouth – which, by the way, is the number one reason that new clients visit a spa.
“Staff come first, and clients follow,” says Jocelyna DUBUC, owner of Spa Eastman, in Quebec, Canada, a Destination Spa finalist in the World Spa Awards – North & South America.
To start the spring-cleaning process, I suggest you ask yourself these three important questions:
I fear your answer may well be “not enough”. Sadly, labour is still considered a cost, rather than an investment by many spa operators. In our experience-based economy, it is not only your architectural atmosphere that creates the experience that clients want to find and reconnect with on a monthly basis, I believe it is the warm and nurturing relationship they have with your staff.
Our study, “Best Practices of Spa Managers” (presented at the Hotel & Spa Forum at the Ritz, Paris, in June 2011 stated that 30 per cent of spa therapists and receptionists are likely to leave within two years. The three main reasons were to get a higher salary, to relocate, or due to pain or injury related to repetitive strain injuries (RSI). Clearly, any spa would do well to offset this attrition.
So, get out your human resources spring-cleaning kit. To make sure you retain your best employees, here are several strategies I would recommend you employ to freshen up those wilting employees.
First, make sure you offer a motivating package, with fair pay and a generous monthly bonus. This bonus should be performance-based, for example related to timeliness, tidiness, team spirit, completion objectives and client referrals.
Give your staff opportunities to learn and grow. Your therapists are more likely to be ‘thirsty’ for knowledge and recognition, than ‘hungry’ for commission. Why not start a mentoring programme? Or build a progressive, in-house education programme that runs over two or three years?
Create a clear career path for your staff, with increasing responsibilities and pay. Allow them to see how they can progress from trainee, to assistant, junior, senior, to assistant manager of their own department.
Finally, share your own duties, responsibilities, accountabilities and rewards, so that your staff can develop leadership abilities.
As a manager and a leader it is your duty to provide a pleasant environment in which people feel confident enough to use their talents. Lead by example by being cheerful and enthusiastic, praise staff who go the extra mile for their clients, and show staff that you respect them by giving them autonomy and a sense of ownership of their role.
Some of the therapists I’ve met tell me they feel like they’re working on a factory line, pressured by objectives to always make more money. They’ve lost their sense of purpose and are no longer aligned with the mission of the spa that they once were happy to be joining.
As the German philosopher Albert Schweitzer said: “In each life, at a certain moment, our inner fire goes out. It is usually brought back to life through an encounter with another living being. Those who revive the inner light deserve our deepest gratitude.”
It is your duty as a spa owner or manager to revive the inner light of your staff so that they can sparkle with enthusiasm, just like your clean floors.
Jean-Guy de Gabriac is Founder and CEO of TIP TOUCH Academie, a consulting & training company based in Paris, FRANCE specialized in Spa Marketing, Spa Management, advanced Massages techniques and Signature massages www.tiptouch.com
Pour beaucoup d’entre nous, qui dit massage, dit détente, relaxation. C’est certain, les massages n’ont pas leur pareil pour nous aider à évacuer le stress, à nous débarrasser de nos tensions. Pour autant, il serait réducteur de s’en tenir là. Car certains soins sont très efficaces aussi pour nous rebooster. En jouant sur notre circulation sanguine ou sur notre énergie vitale, ils permettent à notre organisme de se ressourcer et de retrouver l’élan qui lui manquait.
Plus que centenaire, le modelage suédois est toujours réputé aujourd’hui pour son aspect tonique. Autrefois réservé aux hommes en général et aux sportifs en particulier, ce soin plaît désormais à tous, au point d’être devenu un classique des instituts et des spas. Pendant la séance qui dure en général une heure, le masseur va venir travailler les masses musculaires en les malaxant et en les pétrissant… un peu comme une pâte à pain. Un soin profond et puissant, donc, qui va donner à celui qui le reçoit l’impression que son corps est nettement plus léger. Et ce, à juste titre : « Les pétrissages, frictions et percussions vont participer à une meilleure élimination des métabolites, ces toxines présentes dans la lymphe, explique Jean-Guy de Gabriac, formateur en massages bien-être. Car en activant la circulation sanguine, ils vont également booster la circulation lymphatique. Résultat : cela donne un véritable coup de fouet au système musculaire et au corps en général ! »
Pour nous revitaliser, la médecine traditionnelle chinoise, elle, ne s’intéresse pas à nos muscles mais à nos méridiens d’énergie. Et pour elle, ce n’est pas tant la quantité d’énergie dont nous disposons qui importe mais la façon dont elle circule effectivement dans notre corps. « Si vous vous sentez un peu faible ou fatigué, le praticien de shiatsu ou de Tui Na va parcourir vos méridiens d’énergie à la recherche de nœuds énergétiques, décrit notre expert. En les travaillant ensuite, il va pouvoir disperser ces blocages. » Or quand l’énergie circule mieux, c’est tout le corps qui se sent mieux. Mais attention, l’effet ici n’est pas immédiat. Au contraire ! « Le corps va d’abord accuser le coup, poursuit-il. Une grande sensation de fatigue peut arriver très vite à l’issue de la séance. Voilà pourquoi, il n’est pas toujours conseillé aux personnes qui souffrent de baisses de tension. Parlez-en en amont avec le praticien. »
Quoi qu’il en soit, cette baisse de régime temporaire est naturelle. Car malgré nos nœuds et blocages antérieurs, notre corps avait trouvé son point d’équilibre. Or en circulant brusquement mieux, cette énergie nouvelle va d’abord le déséquilibrer et le fatiguer, avant de le revitaliser à proprement parler.
Mystérieux reiki… Dans ce soin qui se pratique habillé et allongé sur une table, les mains du praticien peuvent nous toucher ou rester à distance. Et même s’il n’y a pas de contact, celui qui le reçoit peut ressentir une chaleur diffuse, une émotion assez forte. « Certains pleurent, d’autres rient. D’autres encore ne ressentent rien du tout, raconte ainsi Jean-Guy De Gabriac. C’est assez proche d’une séance de magnétisme, à la différence que le praticien de reiki ne nous donne pas son énergie comme un magnétiseur : il nous aide à nous connecter à l’énergie tout autour. »
Aujourd’hui, beaucoup de masseurs ou d’esthéticiennes ont été formés à cette pratique. Et s’ils ne la proposent rarement dans sa version pure et dure, ils l’ont parfois intégrée à leur protocole. Le déroulement d’une séance ? « Après l’anamnèse – ce tour d’horizon de notre histoire et de notre santé que tout bon praticien effectue en début de séance – celui-ci passera ses mains sur l’ensemble de notre corps pendant en général une heure, explique notre expert. Mais le reiki peut aussi se pratiquer sur une base régulière : là, on ne travaillera pas seulement au niveau du corps mais aussi au niveau des pensées, sur nos ruminations ou notre colère par exemple. Une deuxième partie de la séance peut alors être consacrée au mental avec des petits exercices pour se débarrasser de nos pensées pesantes. » Un travail qui permet de ressortir de la séance en se sentant littéralement plus léger. Débarrassé ainsi de tous ces « miasmes émotionnels » qui nous encombrent au quotidien.
Elyane Vignau
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Raideurs ? Ankylose ? Inflammation ? Nos articulations font souffrir beaucoup d’entre nous. Bien souvent, il s’agit simplement de blocages dus à la fatigue, aux efforts. A l’âge, aussi. Mais est-ce pour autant une fatalité ? Pas nécessairement, si l’on mise en prévention sur une bonne hygiène de vie, en commençant par nos assiettes et notre forme physique. « Pensez à réaliser régulièrement des assouplissements, conseille Jean-Guy de Gabriac, formateur en massages bien-être. Moulinets avec les poignets, balancements des épaules, mouvements de hula hoop pour les hanches… Comme un huilage, ces petits exercices à pratiquer en début ou fin de journée peuvent donner plus de mobilité aux articulations. » Des gestes simples à adopter au quotidien et à coupler à des soins ciblés pour plus d’efficacité.
Première solution recommandée pour prendre soin de ses articulations : le massage indien, dit Abhyanga, tiré de la tradition ayurvédique. Relaxant et rééquilibrant, il va agir dans un premier temps sur les masses musculaires pour déloger les toxines et aider notre organisme à les évacuer. « Mais il va aussi travailler directement sur les articulations, via les chakras mineurs, des points clés qui se trouvent dans chacune d’entre elles, explique notre spécialiste. Par des flexions d’abord, puis des mobilisations et des grands mouvements glissés vers le centre du corps ensuite, le masseur va apporter plus de mobilité aux principales articulations. » Un soin idéal pour éviter que des raideurs ne deviennent réellement invalidantes.
Moins connue, la relaxation coréenne peut avoir des effets remarquables sur le plan physique. Mais également, au niveau mental, sur le lâcher prise. Ce soin, qui dure de 50 à 60 mn, se pratique allongé sur un futon et habillé de vêtements amples. « Ce massage traditionnel est donc particulièrement indiqué pour des personnes qui ne se sentent pas très à l’aise avec leurs corps, poursuit Jean-Guy De Gabriac. Le praticien va travailler membre après membre, articulation après articulation, en proposant des étirements très progressifs, avec une amplitude de mouvements de plus en plus grande. Rien ne se fait en force. Les manœuvres sont toujours très douces et le praticien ne va jamais jusqu’à la douleur : il cherche seulement à trouver la zone entre le confort et l’inconfort. Là où, précisément, le soin devient efficace sans être pour autant douloureux. La séance comprend aussi des petits lâchers : le praticien laisse tomber la jambe ou le bras à quelques centimètres à peine du matelas. » Etirements, balancements, relâchement… la relaxation coréenne s’avère une véritable invitation à la détente et au lâcher prise.
Elyane Vignau
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Vous êtes constamment fatigué(e) ou souvent malade ? Vous dormez mal ? Digérez mal ? Votre teint est voilé, vous avez des petits boutons ? Peut-être est-il temps de purifier votre organisme. Comment ? En l’aidant à éliminer les déchets dont il ne parvient plus à se débarrasser. Car entre des apports alimentaires souvent trop riches et des modes de vie qui nous incitent à moins bouger, notre corps a tendance à accumuler les toxines… Et les tensions. Voici deux soins coup de pouce pour retrouver légèreté et dynamisme.
Métro(ou auto)-boulot-dodo ? C’est prouvé, nos modes de vie impactent directement le fonctionnement de notre organisme. La lymphe, issue du liquide interstitiel et dont le rôle est de charrier les toxines, métabolites et autres petits déchets qui ne sont pas drainés par le sang, en est l’un des meilleurs exemples. « Contrairement au sang dont la circulation est activée par le cœur, la lymphe elle, ne dispose pas d’un tel muscle, explique Jean-Guy De Gabriac, fondateur de TIP TOUCH, société spécialisée en formation de massages bien-être. Elle n’a pas de ‘pompe’. Ce sont la tension artérielle et l’activité physique qui vont, en envoyant de petites ondes, la mettre en mouvement. Mais l’évolution des progrès techniques et des modes de vie font que nous sollicitons de moins en moins notre corps. La lymphe stagne donc davantage dans l’organisme, ce qui peut générer fatigue chronique, humeur grisâtre et teint voilé. »
A ne pas confondre avec le drainage lymphatique à proprement parlé, celui-ci est pratiqué par une esthéticienne qui va libérer les toxines du visage et améliorer l’oxygénation des tissus. Résultat : un teint éclairé.
Pour y remédier, le premier réflexe consiste donc à faire un peu plus d’exercice physique. Mais pour booster ponctuellement les résultats, il peut être utile de procéder à un drainage lymphatique. « Le soin dure en général une heure pour chaque partie du corps, détaille notre expert. Il consiste en des pompages réguliers dans le sens de la circulation de la lymphe. Des gestes toujours très légers, car si on appuie trop fort, la lymphe circulera moins bien. Alors qu’avec un mouvement doux, on va au contraire accompagner sa circulation. » Dès la première séance, les résultats peuvent être visibles, car le drainage permet souvent, au bout d’une heure, de diminuer des forts gonflements.
Mais attention, ce soin touchant aux globules blancs et aux ganglions – et donc par extension à notre système immunitaire – mieux vaut être bien choisir le spécialiste auquel on a recours. « Vérifiez qu’il a été bien formé, demandez ses diplômes, recommande ainsi Jean-Guy de Gabriac. En matière de drainage lymphatique, deux méthodes sont sûres : la méthode Vodder et la méthode Leduc. Renseignez-vous. »
Et si tout venait du ventre ? Derrière le poncif, il est aujourd’hui prouvé que la santé de notre ventre est capitale pour celle de notre organisme en général. « La zone abdominale regroupe trois émonctoires – foie, intestin, reins – ces organes qui sont avec la peau et les poumons, les filtres naturels du corps, déclare Jean-Guy De Gabriac. Le foie, notamment, a un rôle central dans l’élimination des toxines par les intestins. Le problème, c’est que ceux-ci, très longs, peuvent finir par fonctionner au ralenti. Résultat : des matières y stagnent, y fermentent, entraînant entre autres gaz, inconfort et souvent, des problèmes de constipation chronique. »
Les solutions ? Il y a le drainage du côlon, qui peut se révéler efficace « à condition que l’eau utilisée n’agresse pas le côté basique de la muqueuse intestinale », prévient notre spécialiste. Lui préfère le massage Chi Nei Sang, hérité de la médecine traditionnelle chinoise. « Les Chinois ont repéré dans la zone abdominale, plus précisément du bas des côtes jusqu’aux os du bassin ou du pubis, des points sur lesquels un praticien peut venir travailler soit avec des aiguilles, soit avec les pouces ou la paume. Ce massage consiste en des pressions et des percussions le long des méridiens d’énergie, notamment sur les point dits « Mu », qui sont à la fois des points d’alarme – ils sont douloureux – et de traitements. »
Les résultats, eux, dépassent la seule zone abdominale, car ce soin permet de disperser les tensions énergétiques, physiques mais également émotionnelles. Un vrai soin detox global, pour débarrasser notre corps de tout ce qui le ralentit, l’alourdit, le pollue de l’intérieur. Mais Jean-Guy De Gabriac préfère mettre en garde : « C’est un massage qui peut flirter avec les seuils de la sensibilité voire de la douleur car il s’attaque précisément à des zones très contractées, parfois même très spasmées. Il faut souvent avoir la patience d’aller jusqu’à deux ou trois séances. A ce stade-là, le seuil de sensibilité augmente et on obtient alors de très bons résultats, notamment pour les problèmes de constipation. »
Elyane Vignau
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Trois quarts des Français avouent souffrir régulièrement ou occasionnellement du dos. Il y a ceux chez qui la douleur est récurrente, lancinante. Et d’autres, chez qui elle arrive de manière plus soudaine, plus forte. Le premier réflexe à avoir ? « Interroger son hygiène de vie, conseille Jean-Guy De Gabriac, formateur en massage bien-être. Est-ce que l’on a une bonne literie ? Une chaise confortable à son bureau ? Et en termes de forme physique, où en est-on ? Quand s’est-on étiré la dernière fois ? Depuis quand n’avons-nous pas assoupli notre dos ? »
Si la souplesse s’entretient et qu’un minimum d’activités physiques est essentiel pour notre forme, il peut arriver qu’une douleur apparaisse brutalement. « Si elle est soudaine et violente, mieux vaut se rendre rapidement chez un kinésithérapeute ou un médecin spécialisé sur le rachis, prévient Jean-Guy De Gabriac. Car ce peut être un lumbago ou une vertèbre déplacée… Des problèmes qui peuvent avoir trop de répercussions pour être pris à la légère. » Mais si nous nous sentons un peu « raide », un peu « bloqué » avec des zones d’inconfort, alors un massage ciblé pour nous aider à retrouver un réel mieux-être.
Première méthode : le shiatsu. Proche de l’acupuncture, il agit comme elle sur les méridiens, des canaux d’énergie qui parcourent le corps selon la médecine traditionnelle chinoise. Le praticien n’utilise pas d’aiguille, mais ses pouces, par pressions. Lors d’une séance, qui se déroule toujours habillé, allongé sur un futon, le praticien va rechercher, en parcourant votre corps, des points douloureux le long de ces méridiens. Car ces points d’alarme, s’ils signalent un dysfonctionnement, sont aussi des points de traitement. En les travaillant, le praticien va permettre à l’énergie de mieux circuler. Et aux douleurs de s’estomper.
Si le shiatsu est intéressant contre le mal de dos, c’est avant tout parce qu’il agit à un double niveau. « Le praticien va d’abord travailler de part et d’autre de la colonne vertébrale sur le méridien de la vessie et les points dits « shu » qui le jalonnent, indique Jean-Guy de Gabriac. A travers ces points d’attache reliés à différents organes, le praticien pourra traiter par pression et à distance l’origine de la douleur. » Origine qui bien souvent, ne se situe pas directement dans le dos.
Mais le shiatsu ne se contente pas d’agir sur les causes purement physiques du mal de dos, comme le précise notre spécialiste : « La deuxième branche du méridien de la vessie, qui se situe à l’aplomb des omoplates, est également très intéressante car elle travaille davantage sur le plan émotionnel, en permettant d’éliminer les tensions psychologiques. » Un travail plus subtil, moins direct que sur les organes, mais qui montre bien que le shiatsu est un soin corps-esprit particulièrement adapté à la complexité de nos problèmes de dos.
« Le travail de l’ostéopathe semble se faire en surface mais en réalité, il se révèle beaucoup plus profond. »
Vous souffrez de raideurs ? Vous avez l’impression que votre dos est soumis à de plus en plus de tensions ? Pour l’ostéopathe crânien, la solution se situe peut-être au niveau de la première cervicale, entre le sacrum et l’atlas. « Le fait de travailler cette zone permet d’atténuer les tensions que subit la dure-mère, l’enveloppe qui protège tous les nerfs », explique ainsi Jean-Guy De Gabriac. Une « gaine », en quelque sorte, soumise à des tensions que l’ostéopathie permet de rectifier tout en douceur, grâce à un toucher très léger. « Le travail de l’ostéopathe semble se faire en surface mais en réalité, il se révèle beaucoup plus profond, poursuit le spécialiste. Pourquoi ? Parce que l’on s’est aperçu que bien souvent, quand on cherche à travailler directement en profondeur, le corps se braque, se tend. Alors qu’avec un toucher plus fluide, on obtient de bien meilleurs résultats ».
Les séances durent en général 20 ou 25 minutes et permettent de retrouver plus de mobilité au niveau du sacrum. « On peut se baisser et se tourner plus aisément et l’on gagne également en souplesse au niveau des cervicales : il est plus facile de tourner la tête vers la droite ou la gauche. En un mot, on retrouve plus de souplesse dans ce qui semblait nous figer jusque-là, tant physiquement que dans notre rapport aux autres et au monde. »
A cause du stress notamment, beaucoup de personnes se plaignent de tensions qui se manifestent directement dans la nuque et les épaules. « Mais il arrive parfois que des douleurs apparaissent dans le dos parce que l’on est particulièrement noué au niveau des organes, analyse Jean-Guy De Gabriac. Dans ce cas, l’ostéopathie viscérale peut vous aider à vous décontracter en agissant sur les organes, en les « déspasmant ». »
Qui cela concerne ? En premier lieu, les femmes qui se plaignent de douleurs chroniques au ventre, au bas ventre ou dans les ovaires. Tous ceux, aussi, qui disent parfois ressentir « des boules » ou des « nœuds » au ventre. Des tensions émotionnelles bien souvent, liées à tout ce que l’on vit et que l’on n’arrive pas à évacuer. C’est là précisément qu’intervient l’ostéopathe pour nous permettre de dénouer les nœuds, de « digérer » les tensions et de les évacuer. Voilà pourquoi il est conseillé d’espacer les visites de 15 jours à 3 semaines, afin de laisser le temps au corps de se réajuster à son nouvel environnement, de se réadapter. Et d’aller mieux, de lui-même.
Elyane Vignau
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